CALENDRIER

SYLVIE DELOM

Conteuse, chanteuse

 

Retour à l'index

 

 

 

 Nous contacter

 

 

Retour à l'index

 

 

PRESSE

DERNIERES NOUVELLES D'ALSACE (2019 Transes narratives en terres givrées)

Elle a entraîné les spectateurs (adultes et adolescents) dans l'univers glacé des Inuits, avec un investissement corporel et vocal rendant concrets ces évocation vibrantes qui ont fait mouche.

 

L'EST REPUBLICAIN (2019 Transes narratives en terres givrées)

Avec bonheur, l'artiste a emporté son auditoire en voyage en terre inconnue... Un moment rare... Si les sonorités de la guimbarde ou encore les mélopées de la voix de la conteuse ont émaillé les récits, elles ont aussi mis en exergue la puissance et la rudesse du Grand Nord. Frissons garantis pour spectateurs conquis.

 

LE BIEN PUBLIC (2015 Le Corps sans âme)

Captivés, les auditeurs découvrent une forme originale, tendre, poétique, parfois drôle, souvent émouvante, qui renouvelle le genre du conte à destination d’un public essentiellement adulte… Accompagnée de sa seule guitare ou d’un shruti box, la conteuse a su captiver son public, l’envoûter, le faire pénétrer dans le monde du conte. Un très beau spectacle, sans temps mort, agrémenté de musiques et de chansons.

 

LA VOIX DE L’AIN (2015 Contes à boire et à déboires)

SD électrise le public… Le talent de la conteuse a fait passer une bonne soirée au public qui en redemandait.

 

ZIBELINE – Marseille (2014)

Il en faut, du talent, pour captiver ainsi un public distrait par les bagarres prêtes à se déclencher entre les «zonards» alcoolisés du Cours Julien, les trottinettes qui filent, les scooters vrombissant et les joueurs de ballon. Dans ce contexte difficile, Sylvie Delom donne une prestation généreuse, pleine d’humour et de panache, rendant au début de soirée sur cette place publique une dimension de partage qui se fait trop rare.  On apprend que c’est la DRAC PACA qui a financé sa résidence, lui permettant de transmettre un patrimoine précieux, en retraçant les aventures d’un moine du VIe siècle, Brendan…

 

LE PROGRES (2013 – Gargantua)

Devant un public hilare, l’artiste a réalisé une performance exceptionnelle et a démontré tout son talent de virtuosité oratoire.

 

L’UNION (2011)

Le verbe clair, la voix envoûtante ont émerveillés les spectateurs… Cette virtuose du conte…

 

LE DAUHINE LIBERE (2011 Cœur d’Amour Epris)

La mise en scène adaptation traduction est un morceau de bravoure, brillamment porté par la comédienne SD… Pendant une heure et demie, elles ont ravi les nombreux spectateurs avec ce conte vieux de 600 ans mais d’une grande modernité.

 

LE PROGRES (2011 Gargantua)

Un public conquis, prêts à s’esclaffer et se remuer la panse. Rabelais n’aurait pas désavoué ce lieu de partage où soufflait le « gay savoir »

 

LE PROGRES (2011 Jeu des Bottes de 7 lieues)

Sur le tranchant du rasoir, tel a été le sort de l’artiste de l’atelier du Réverbè-re, suspendue au rythme du dé et de son imaginaire, durant près de deux heures trente de scène ! Bluffant définitivement son public, venu oser l’aventure de ce Jeu de l’Oie improvisé autour des Contes de Perrault.

 

LE CRESTOIS (2009 paroles en jazz) SD et BH sont en symbiose totale. Drôlerie des récits, poésie et musique ont fait de cette soirée un moment inoubliable. Le public a été totalement conquis par cette forme de spectacle unique.

 

PAROLES DE CONTEURS : le journal (2008 paroles en jazz) Ils sont magnifiques tous les deux, ce sont des virtuoses. Elle fait feu de tout bois : quelle imagination !

 

L'INDEPENDANT (2007 Gargantua) Tantôt tonitruante, tantôt tendre, SD nous a transporté dans le royaume fantasmagorique de ce héros truculent, impudique et blasphématoire, personnage qu'elle aime, semble-t-il, par dessus tout. C'est avec volupté qu'elle manie les jeux de mots les plus invraisemblables, faisant parfois penser au pince-sans-rire du regretté maître du genre, Raymond Devos.

 

LE PROGRES (2007) Portées par les mélopées de sa voix,  la sobriété et l’économie des moyens utilisés contrastent avec la bonhomie du personnage bien campé sur ses deux jambes. Une complicité de longue date semble se manifester entre elle et un public qui ne la connaît pourtant ni d’Eve ni d’Adam. Les spectateurs ravis sont conviés à une soirée de retrouvailles avec une vieille copine de passage.

 

LA MONTAGNE GUERET (2003) De sa voix claire et limpide tantôt parlée ou bien chantée, elle sait faire naître suspens et crainte.

 

LES DERNIERES NOUVELLES D’ALSACE (2005) Cent paires d'yeux d'enfants et adultes étaient fixés sur la conteuse, cent paires d'oreilles grandes ouvertes pour ne pas en perdre une miette. Au fil de ses histoires, les drames se nouent, passant de l'imaginaire à la réalité, de la tristesse à l'hilarité, et à aucun moment l'on ne devine la suite. D'ailleurs, serait bien inspiré celui qui y arrive, car la conteuse qui captive son auditoire par sa manière de raconter, garde dans ses récits une grande part d'improvisation.

 

LES DERNIERES NOUVELLES D’ALSACE (2005) Avec bonheur SD narre ses contes où la finesse du récit séduit, jouant sur toutes les fibres de la sensibilité, pointant le côté cruel ou tendre des personnages, jouant sur le pathétique des situations, magnifiant la bonté et la générosité, et dont la morale, toujours sauve, prend parfois des détours inattendus.
Les applaudissements du public ont conduit S.D. à donner une histoire inédite basée sur trois mots, un lieu et un objet proposés par le public, un bel exercice de haute voltige où elle a fait merveille.

 

MIDI LIBRE (2005) Spectateurs captivés par la verve improvisée de SD. L’aisance de la conteuse a embarqué le public dans des chemins toujours surprenants.

 

LE DAUPHINE LIBERE (2004) Un moment magique, durant une heure, la conteuse enchaîna ces histoires toutes aussi étranges et passionnantes les unes que les autres… Même les adultes présents cet après-midi là ont été captivés par la voix et les récits de la conteuse.

 

LA MONTAGNE AURILLAC  (2003) Les sonorités du verbe, du chant, des accords de guitare s'unissent en une musicalité intense, entière, puissante, créant comme une entité magistrale... Elle emmène son  public dans un extraordinaire voyage sensoriel.

 

LA NOUVELLE REPUBLIQUE DU CENTRE(2003 Gargantua) L’adaptation de  Gargantua, mêlant les trois voix ainsi que des airs de guitare était plus qu’acrobatique, mais les spectateurs en redemandaient tant le spectacle était savoureux                                                                          

 

L’EVEIL NORMAND (2003) SD apparaît en toute simplicité. Elle donne corps au conte avec sa présence, simplement, sa voix et un filet de musique. On se laisse emporter par le récit qui bientôt devient un chant.

 

LE MESSAGER (2002) S.D. est une conteuse, poétesse et chanteuse, dans la tradition des troubadours du 13ème siècle. Le talent de SD a consisté à exalter jusqu'au merveilleux le sens de l'humain de cette civilisation.

 

LA DEPECHE DU MIDI (2002)

Toute de noir vêtue, elle n’a l’air de rien mais d’emblée sait prendre toute sa place sur scène et emporte le public vers des contrées sauvages. Pour terminer SD s’est lancée dans un numéro d’improvisation où accompagnée de sa guitare, elle a chanté une histoire totalement délirante avec talent et beaucoup d’humour.

 

LA NOUVELLE REPUBLIQUE DU CENTRE (2002) Cette jeune femme, mi-poète/mi-chanteuse a captivé le public par la justesse du timbre de sa voix… Une soirée remplie d'émotions.

 

LE JOURNAL DU CENTRE (2004) La magicienne du conte emporte les spectateurs dans un univers extraordinaire pour les relâcher une heure plus tard totalement enchantés.

 

LE POPULAIRE DU CENTRE (2001) Elle joue et se joue des uns et des autres, boute en train et tendre, malicieuse ou mélancolique
 

LE DAUPHINE LIBERE CLUSES (2000) Le temps s'est suspendu… S.D dans un impressionnant exercice de mémoire a enchaîné les histoires dans un rythme narratif des plus enthousiastes. Sur le ton de l'improvisation, elle a ainsi rappelé la longue tradition des conteurs et des troubadours.
 

LE BIEN PUBLIC (2000) Une conteuse captivante, presque envoûtante… Toujours surpris par la juste expression, le bon tempo, la sensibilité, l'émotion, l'emportement de l'artiste.         
 

LE REPUBLICAIN (1999) Un vrai bonheur ! Les murs ont vibrés d'un moment rare. Une ambiance digne des coins du feu de nos grand-mères.
 

LE DAUPHINE LIBERE GRENOBLE (1998) SD Lauréate du concours des conteurs du Festival des Arts du Récit en Isère… La tâche de déterminer un gagnant était rude tant la qualité des participants était grande

LE DAUPHINE LIBERE ANNECY (1997) S.D. a captivé sans contredit le jeune public… Spectacle d'une conteuse de talent… Une palette expressive des plus astucieuses… Avec de simples mots burinés par l'expérience, la conteuse a proposé des leçons savoureuses.

 

 

 


 

  Présentation

 

 
 
 

 

 

 

 

Adverbe - association loi 1901 - BP 427 - 01504 Ambérieu en Bugey - 04 74 34 14 21 - http://www.atelier-du-reverbere.com - Nous contacter